Si 85% des PMEs annoncent vouloir revaloriser les salaires à la hausse cette année, les hausses pourraient être bien plus faibles que les objectifs des syndicats et du gouvernement.
Dans un sondage auprès de 3873 PME réalisé par Tokyo Shoko Research
Pour justifier cette situation, 54% des PMEs disent être contraintes par leurs clients auprès desquels elles ne peuvent pas refléter leurs hausses de coûts et 49% invoquent les hausses des prix des matières premières et de l’énergie (plusieurs raisons pouvant être sélectionnées).