Lors d’une réunion entre le gouvernement, les syndicats et le Keidanren, le premier ministre Kishida a répété le souhait du gouvernement que les salaires soient augmentés largement en 2024, reprenant aussi l’objectif d’un minimum de 5% des syndicats, mettant un peu le Keidanren en porte-à-faux.
Difficile de savoir si c’est son souhait réel ou s’il essaie de redorer son image auprès du public japonais, lui et son gouvernement étant au plus bas dans les sondages (à 17,1% d’opinions favorables).